J’ai aimé les 5h30 de trajet en bus jusqu’à Wellington car les paysages étaient vraiment magnifiques et variés : des montagnes avec de la végétation partout, des collines herbeuses où paissent des moutons, des marécages remplis d’oiseaux dont des cygnes noirs, des champs en colline….. Explication : tu vois un champ en bord de route avec des vaches ou des moutons, et juste plus loin tu as un ou plusieurs trous énormes avec une colline à l’intérieure, des arbres, des vaches ou des moutons. Jamais j’avais vu cela avant. Enfin on arrive à Wellington sous le soleil. Cool j’ai encore de la chance.
Wellington, capitale de la Nouvelle-Zélande, avec une population de 197 000 habitants, est surnommé Windy Wellington, dû à ses forts vents, causés par son emplacement dans les quarantièmes rugissants et le vent omniprésent venant du détroit de Cook.

Je profite de ma première journée pour me balader sur les quais. Et je confirme que c’est bien la ville des vents à décorner des buffles…. il fait soleil avec une température de 13°. Je visite le musée Te Papa. Je fais tout un étage sur les Maoris, les peuples du pacifique, la colonisation des britanniques, la guerre et tout ce qui a fait ce qu’est la Nouvelle-Zéalande d’aujourd’hui. C’est intéressant, amusant, colorée, ludique. Enfin comme d’habitude il faudrait des heures pour tout voir.

Le lendemain, je prends le funiculaire pour aller au jardin botanique et redescendre au centre-ville à pied. Il fait toujours beau temps et le jardin vaut le coup d’oeil. J’aime bien cette ville et même je crois que je pourrais y vivre. Le centre-ville se parcourt facilement à pied. Les quais de la baie sont animés par des musiciens, des gens qui font du sport, qui prennent le soleil… La végétation est partout dans le centre-ville, sur le périphérique et ses collines sont bien attrayantes avec ses maisons. Les néo-zélandais sont sympas, toujours prêt à discuter, plutôt décontracté.